Numéro d’inventaire
INV 26294, Recto
Anciens numéros d'inventaire :
NIII 33917Référence de l'inventaire manuscrit :
vol.11, p.41Collection
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Portrait de Ducreux, par lui-même
Autoportrait aux cheveux longs au naturel.
Autoportrait aux cheveux longs au naturel.
Description / Décor
Commentaire :
Neil Jeffares donne le pastel à Joseph Ducreux et l'identification du modèle, Autoportrait, (Dictionary of pastellists before 1800, Londres, 2006, p. 164). Nathalie Lemoine-Bouchard, Les peintres en miniature actifs en France, 1650-1850, Les éditions de l'Amateur, Paris, 2008, p. 208-209, cité p. 209
Cet Autoportrait aux cheveux longs au naturel est en relation avec INV.41200.
En 1985, le musée du Louvre a pu réunir le premier autoportrait connu de Joseph Ducreux, daté de 1767, et l'un des tout derniers, généralement considéré comme peint vers 1798, soit quatre ans avant que l'artiste ne meure subitement « d'un coup de sang ou de quelques crevasses de quelques gros vaisseaux » (lettre de Robière, ami de l'artiste, citée par Lyon, 1958, p. 109) à huit heures du matin sur la route de Paris à Saint-Denis, le 5 thermidor an X, soit le 24 juillet 1802. Quelques jours plus tard, le 11 thermidor, le Journal des Débats rendait compte de cette disparition tout en précisant que l'artiste s'était complu à se représenter lui-même à tous les Salons et sous des aspects différents. On l'avait ainsi successivement vu bâillant, dormant, riant ou en joueur désespéré (Lyon,1958, p. 110). Ducreux compte assurément parmi les maîtres qui aimèrent à multiplier leur propre image. Entre 1767, année au cours de laquelle il se représente en jeune homme élégant avec sa palette, et 1798, année où il expose au Salon une « étude d'après l'auteur. Ovale » (no 137) où l'on a proposé de reconnaître l'autoportrait aux cheveux longs au naturel, l'artiste a ainsi peint à l'huile et au pastel plus d'une trentaine d'autoportraits, dont certains reproduisent à plusieurs reprises la même composition. Pour la plupart, ces œuvres sont postérieures à 1783. Cette année-là, Ducreux exposa à Paris au Salon de la Correspondance, en l'hôtel de Villayer, rue Saint-André-des-Arts, un autoportrait où il s'était représenté à mi-corps, vêtu d'une redingote rouge, en train de bâiller, et un autre, au pastel, où il apparaissait riant. Au début de l'année 1791, à Londres où il avait momentanément trouvé refuge, l'artiste présentait à la Royal Academy un autoportrait et des têtes d'expression incarnant la surprise mêlée de terreur et la surprise pour lesquelles il avait utilisé ses traits. Il donnait aussi trois estampes, publiées le 21 février, où il apparaissait cette fois en joueur éploré, en rieur et en discret. De retour à Paris, Ducreux compta naturellement parmi les artistes non académiciens qui exposèrent au premier Salon ouvert à tous par décret de l'Assemblée nationale. L'autoportrait bâillant de 1783 fut à nouveau montré (no 698) à proximité d'un portrait d'homme ovale intitulé « Le Silence » (no 47) où l'on doit probablement encore reconnaître le maître. Au Salon de 1793 prit place l'autoportrait en moqueur qui montre du doigt (no 240). L'œuvre ne convainquit pas, jugée d'une expression chargée, la couleur sale, la main droite trop petite, l'autre peu heureuse (Paris, BnF, collection Deloynes, no 458),mais fit cependant l'objet de plusieurs versions peintes à l'huile, dont celle conservée au musée du Louvre (fig. 16. Inv. RF 2261. Don Frédéric Anthony White en 1920). Au Salon de 1795, l'artiste paraissait en rieur (no 160). Un critique anonyme soulignait alors : « S'il faut tâcher d'intéresser par un sentiment vif et profond, il faut encore plus prendre garde de ne pas changer la nature comme le fait le citoyen Ducreux dans son propre portrait no 160, son regard, dit-on, est vif et sérieux et il s'est donné un rire forcé qui ne rend pas le caractère qui lui est propre, il en est de même de son exécution dans laquelle on trouve de la dureté soit dans le passage des ombres aux clairs, soit dans le pinceau, soit enfin dans les tons de couleurs. Malgré ces défauts qui, de la part d'un jeune homme, seraient un mal sans remède parce qu'il montre un esprit sistématique, malgré cela, disje, le mérite de la ressemblance donne toujours au citoyen Ducreux beaucoup d'emploi » (Paris, BnF, collection Deloynes, t. 18, p. 424,cité par Lyon, 1958, p. 102). En 1795, sur la liste de ses œuvres, Ducreux précisait aussi qu'il s'était représenté en cheveux (étude) et en perruque. L'année suivante, face à un nouvel autoportrait (no 145.Étude d'expression), la critique finissait par s'agacer. Peinte au pastel et décrivant le modèle la bouche ouverte, coiffé d'une toque de fourrure (vente à Louviers, 2 décembre 2012, Me Prunier, lot 49, repr.), l'œuvre appela un long commentaire dans le Mercure de France des 20 et 30 frimaire an V (p. 89-95, 158) : « Ducreux, peint par lui-même, dit le livret. C'est donc un bel homme ou du moins il a une belle tête car on dit qu'il se place à tous les Salons ! Regardès-le, c'est cette tête coeffée d'un bonnet de fourrure, ouvrant la bouche, montrant les dents et grimaçant pour avoir l'air de rire. - Mais cette figure est ignoble, elle ne rit pas des yeux. - Attendès... je cherche dans ma mémoire... j'y suis... c'est bien là cette hideuse figure qui, au Salon de l'an quatre... montrait le poing aux spectateurs ?... N'est-ce pas la même encore qui, au Salon de l'an trois, bâillait à se fendre les joues jusqu'aux oreilles ? - Quelle mémoire ! - Dites donc, quel mauvais goût de se présenter sans cesse au Salon et de se présenter toujours dans quelque attitude basse et triviale !... C'est donc le grimacier des boulevards » (cité par Lyon, 1958, p. 104-105). Le maître n'en eut cure et exposa au Salon de 1798 une nouvelle « étude d'après l'auteur » (no 137) et à celui de 1799, une dernière fois, deux autres autoportraits (un seul cité au livret sous le numéro 90). Le Mercure de France s'en faisait à nouveau l'écho en 1798 : « Quoi, vous aimés que ce bel art, égalé à la poésie par Horace, soit avili jusqu'à représenter un homme tantôt bâillant, tantôt faisant la nique aux spectateurs. Si cela est du naturel et que l'on recherche cette sorte de naturel, je ne vois pas où s'arrêtera le citoyen Ducreux et je ne voudrais pas assurer qu'il ne s'ôffrit au public satisfaisant des besoins plus secrets que ceux de bâiller » (ibid., p. 105). En 1799, les avis demeuraient partagés. Le journal des arts du 5 fructidor an VII (Examen du Salon de l'an VII) soulignait le parti pris de l'omniprésence : « Le citoyen Ducreux semble avoir pris l'engagement d'offrir chaque année au public son propre portrait. Plus libéral aujourd'hui, il en a exposé deux dont l'un est peint en pied dans l'attitude furieuse d'un joueur qui vient de perdre sa fortune ; on ne peut nier qu'une collection d'après le même original ne soit fort intéressante pour sa famille. Cela peut former une galerie complète et graduée. Nous avons remarqué que les traits de Ducreux ont toujours un caractère très prononcé, nous pensons aussi que moyennant la grande habitude qu'il a de se peindre lui-même, il le fait maintenant sans le secours d'un miroir et purement de souvenir. Nous espérons voir encore à l'exposition prochaine le portrait de l'auteur sous quelque aspect nouveau » (ibid., p. 106). Pour Chaussard, dans La Décade philosophique, le procédé n'était pas défendable : « Il est des artistes qui par de continuels efforts cherchent à s'élever au sentiment du beau. Cet artiste n'a que celui de la laideur et il a tenté d'en éterniser le modèle en le multipliant. Vous avès vu cette effigie grimaçante sur les quais, dans les dernière expositions, sur les ponts, vous la retrouvès encore ici. La voilà dans le personnage de Beverley. On ne peut refuser à cet artiste de la fougue. Mais quelle incorrection ! Cette manière heurtée, ce faire expéditif ne sont plus recevables aujourd'huy » (ibid., p. 106-107). Entre l'autoportrait de 1767, œuvre sage d'un pastelliste en devenir, et l'autoportrait aux cheveux longs au naturel peint dans les dernières années, après 1796, où l'homme nous apparaît sans flatterie et tout en introspection, il s'est indéniablement passé quelque chose. À nos yeux, il s'agit de la rencontre avec Maurice Quentin de La Tour, qui ne peut être contemporaine de son arrivée à Paris vers 1760, comme le pensaient Prosper Dorbec dès 1906 et, à sa suite, tous ceux qui s'intéressèrent au maître, à l'exception de Georgette Lyon, qui s'interrogeait également. Le pastelliste des années 1760,celui qui fixe les traits des princesses de la famille royale, puis des princesses et des princes de la famille impériale, et à nouveau ceux de Madame Clotilde en 1775, n'est encore qu'un praticien habile, seulement capable de donner de jolies images sans profondeur psychologique. C'est sans doute pourquoi il n'est désigné en 1776 par l'Almanach historique de l'abbé Lebrun qu'en « peintre de portraits à l'huile, miniature et au pastel [...] très-habile homme qui fut envoyé à Vienne, pour y peindre l'Archiduchesse, aujourd'hui notre Reine » et en 1781, à l'occasion du Salon de la Correspondance, comme « premier Peintre de la Reine ». Il faut en effet attendre 1783 et l'exposition à l'hôtel de Villayer du portrait au pastel de l'actrice Mlle Fel pour que le nom de Ducreux soit enfin associé à celui de La Tour. D'une touche légère et fine qui indiquait avec peu des plans bien dessinés, des accessoires faits par méplats et dont le brillant s'accordait très bien avec le ton des chairs qui étaient d'une couleur vraie, l 'œuvre annonçait, selon Pahin de La Blancherie, un « artiste plein des leçons du célèbre La Tour » (Nouvelles de la République des Lettres et des Arts, cité par Lyon, 1958, p. 73). La même année, Ducreux montrait aussi son autoportrait en rieur, indéniable hommage à l'autoportrait dit « à l'index » ou « à la croisée », ou bien encore « en Démocrite »,dont Maurice Quentin de La Tour avait exposé la première version au Salon de 1737 sous le titre « L'auteur qui rit » (voir cat. 78). En 1786, à l'occasion de la présentation au Salon de la Correspondance du portrait de Mlle d'Éon, célèbre travesti, la critique avait souligné qu'en réunissant dans le genre du portrait à l'huile et au pastel le mérite de la ressemblance et celui d'une bonne exécution, Ducreux s'était montré digne élève du célèbre M. de La Tour. Le livret du Salon de 1796 le qualifiait d'élève du maître. Dans son testament de 1784, Maurice Quentin prenait soin d'offrir à Ducreux le portrait qu'il avait conservé de lui. La rencontre avec le maître vieillissant devait en fait être de peu antérieure, peut-être lorsque le jeune pastelliste avait fixé les traits de Marie Fel. Un enseignement ou de simples conseils furent-ils alors dispensés ? Aucun document ne permet aujourd'hui de le dire. Mais le choc dut être important, car, sinon, comment expliquer la succession des autoportraits, véritable quête introspective et indéniable moyen de se faire connaître, comment comprendre les changements techniques et le sens exacerbé du réalisme et de la psychologie si peu perceptible avant 1783 ? (Xavier Salmon, Pastels du musée du Louvre XVIIe -XVIIIe siècles, Louvre éditions, Hazan, Paris, 2018, cat. 50, p.113-115).
neiljeffares.wordpress.com/2018/07/12/the-louvre-pastels-catalogue-errata-and-observations, n° 51.
Caractéristiques matérielles
Dimensions
H. 0,724 m ; L. 0,575 m
Matière et technique
Pastel sur plusieurs morceaux de papier gris-bleu, avec agrandissement sur tout le pourtour, tendus sur une toile à large tissage, le tout tendu sur châssis. Annoté à la plume et encre brune, sur une pièce de papier au dos de l'ancien carton de protection arrière : Portrait de monsieur / Ducreux peintre de la / reine fait par luy même / comme teste d'Étude. / Donné à M. Le Bas par la veuve de l'auteur en 1813. Sur le châssis, annotation au crayon noir : 2me salle Duquesne. Annotation à la sanguine : 1ere salle De marine.
Les mesures du cadre sont : H : 00,92 ; L : 00,78 et profondeur : 00,10. Montage ancien conservé séparément.
La restauration de cette œuvre a été rendue possible grâce au soutien de Joan et Mike Kahn en 2016.
Les mesures du cadre sont : H : 00,92 ; L : 00,78 et profondeur : 00,10. Montage ancien conservé séparément.
La restauration de cette œuvre a été rendue possible grâce au soutien de Joan et Mike Kahn en 2016.
Forme
ovale
Données historiques
Historique de l'œuvre
Collection de l'artiste puis de sa veuve Philippine Rose, née Cosse. Le pastel aurait été offert par cette dernière en 1813 à M. Le Bas. Acquis en juillet 1843 pour les musées royaux de Mme Varaille au prix de 100 francs.
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Réserve des pastels
L'œuvre est visible sur rendez-vous en salle de consultation des Arts graphiques.
Index
Expositions
- Espace de découverte des techniques et des gestes - Choses : naturalia et artificialia
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 21 septembre 2022 - 23 janvier 2023
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 21 septembre 2022 - 23 janvier 2023
- En société. Pastels du musée du Louvre XVIIe-XVIIIe siècles
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 06 juin - 10 septembre 2018
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 06 juin - 10 septembre 2018
- Pastels
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 25 février 2012 - 31 janvier 2015
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 25 février 2012 - 31 janvier 2015
- Accrochage de pastels
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 18 décembre 2002 - 03 novembre 2003
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 18 décembre 2002 - 03 novembre 2003
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Autoportraits, études et portrait. Pastels français des XVIIIe et XIXe siècles
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 10 février - 04 octobre 1999
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 10 février - 04 octobre 1999
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Pastels du XVIIIe siècle
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 16 avril - 31 octobre 1996
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 16 avril - 31 octobre 1996
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Accrochage de pastels
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 30 mai - 30 novembre 1995
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 30 mai - 30 novembre 1995
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Pastels de l'école française
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 01 décembre 1992 - 30 juin 1993
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 01 décembre 1992 - 30 juin 1993
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Pastels
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 27 juillet - 18 septembre 1989
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 27 juillet - 18 septembre 1989
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Pastels français XVIIIe-XIXe siècles
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 31 mai - 09 septembre 1985
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 31 mai - 09 septembre 1985
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Musée d'Art et d'Essai. Présentations temporaires d'oeuvres du Louvre : Autoportraits de peintres
Etape :
Palais de Tokyo, Paris, France - 07 mars - 12 octobre 1978
Organisée par : Palais de Tokyo (Paris, France)
Etape :
Palais de Tokyo, Paris, France - 07 mars - 12 octobre 1978
Organisée par : Palais de Tokyo (Paris, France)
- Pastels et miniatures du XVIIIe siècle
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 24 octobre 1973 - 28 mai 1974
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 24 octobre 1973 - 28 mai 1974
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Pastels et miniatures XVIIe et XVIIIe siècles
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 09 mars - 11 mai 1965
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 09 mars - 11 mai 1965
Organisée par : Musée du Louvre-Département des Arts Graphiques (Paris, France)
- Le portrait français de Watteau à David
Etape :
Musée national de l'Orangerie des Tuileries, Paris, France - 20 décembre 1957 - 24 mars 1958
Organisée par : RMNGP (Paris, France), Musée national de l'Orangerie des Tuileries (Paris, France)
Etape :
Musée national de l'Orangerie des Tuileries, Paris, France - 20 décembre 1957 - 24 mars 1958
Organisée par : RMNGP (Paris, France), Musée national de l'Orangerie des Tuileries (Paris, France)
- Pastels français des collections nationales et du musée La Tour de Saint-Quentin
Etape :
Musée national de l'Orangerie des Tuileries, Paris, France - 20 mai - 27 juin 1949
Organisée par : Musée du Louvre (Paris, France)
Etape :
Musée national de l'Orangerie des Tuileries, Paris, France - 20 mai - 27 juin 1949
Organisée par : Musée du Louvre (Paris, France)
- Notice des dessins, cartons, pastels, miniatures et émaux exposés dans les salles du 1er et 2ème étage au musée national du Louvre [Ecole française de Aubry à Leprince]
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France
Organisée par : Musée du Louvre (Paris, France)
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France
Organisée par : Musée du Louvre (Paris, France)
Dernière mise à jour le 04.09.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
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Notice complète sur l'inventaire informatisé du département des Arts graphiques :
http://arts-graphiques.louvre.fr/detail/oeuvres/1/212051-Portrait-de-Ducreux-par-lui-meme