Numéro d’inventaire
Numéro principal : RF 1268
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Titre : Saint-Georges vainqueur du dragon
Type d'objet
bas-relief
Description / Décor
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 0,348 m ; Largeur : 0,287 m ; Profondeur : 0,03 m
Matière et technique
plâtre teinté=teinture
Lieux et dates
Date de création / fabrication
1500 - 1600
Lieu de provenance
Gaillon (France)
Données historiques
Historique de l'œuvre
Eléments du décor du château de Gaillon (Eure) - Château construit par le cardinal Georges Ier d'Amboise (Chaumont, 1460 - Lyon, 1510), ministre de Louis XII, nommé au siège archiépiscopal de Rouen en 1494, et vice-roi du Milanais en 1500. En 1502, il entreprend la reconstruction du château de Gaillon, afin de réaliser une grande résidence. Elisabeth Chirol a défini deux périodes de construction, la première de 1502 à 1506, la seconde de 1506 à 1510. Y ont participé des artistes français et italiens, et un grand nombre d'oeuvres ont été importées d'Italie. Beaucoup d'incertitudes demeurent quant à l'attribution des vestiges subsistant du château mis en vente le 28 ventôse, an IV (17 mars 1796) et démantelé. Le château a été acquis par Darcy en 1797.
Reliefs (RF 1265 à 1269) découverts en 1898 sur une cheminée située dans un bâtiment servant de prison attenant au château de Gaillon. Signalés par l'abbé Blanquart et considérés par lui comme des moulages de boiseries ayant décoré la chapelle du château. Réclamés par André Michel (1853-1925), historien d'art, conservateur en chef du département des Sculptures du musée du Louvre jusqu'en 1920. Cédés par le ministère de l'Intérieur. Entrés au Louvre le 28 octobre 1899 et considérés comme formant autrefois un seul retable. Déposés au musée national de la Renaissance en 2007.
Reliefs (RF 1265 à 1269) découverts en 1898 sur une cheminée située dans un bâtiment servant de prison attenant au château de Gaillon. Signalés par l'abbé Blanquart et considérés par lui comme des moulages de boiseries ayant décoré la chapelle du château. Réclamés par André Michel (1853-1925), historien d'art, conservateur en chef du département des Sculptures du musée du Louvre jusqu'en 1920. Cédés par le ministère de l'Intérieur. Entrés au Louvre le 28 octobre 1899 et considérés comme formant autrefois un seul retable. Déposés au musée national de la Renaissance en 2007.
Mode d’acquisition
entrée
Date d’acquisition
date d'arrivée au Musée : 11/08/1869
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Sculptures du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Ecouen (France), Musée de la Renaissance - château d'Ecouen
Index
Mode d'acquisition
Matériaux
Technique
Iconographie
Lieux
Type
Bibliographie
- L'art médiéval français au Louvre, cat. exp. (Niigata, musée d'art moderne de la préfecture du 10 juillet au 12 septembre 2004 et Fukuoka, musée des Beaux-arts du 28 septembre au 28 novembre 2004), 2004, n° 102
- Gaborit, Jean-René (dir.), Sculpture française II - Renaissance et Temps Modernes, vol. 1 et 2, Paris, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1998, p. 616
- Beaulieu, Michèle, Description raisonnée des sculptures du Musée du Louvre, t. II : Renaissance française, Paris, 1978, p. 52-53, n° 64-68
- Chirol, Elisabeth, Le château de Gaillon, Paris, 1952, p. 209, n° 109-112
- Vitry, Paul, Michel Colombe et la sculpture de son temps, Paris, 1901, p. 261-262
- Blanquart, Abbé F., « La chapelle du château de Gaillon et les fresques d'Andrea Solario », Bulletin de la Société des Amis des Arts du département de l'Eure, 1898, p. 38
Expositions
- Art français médiéval, Fukuoka (Japon), Art Museum, 28/09/2004 - 28/11/2004, étape d'une exposition itinérante
- Art français médiéval, Niigata (Japon), City prefectural museum of modern art, 10/07/2004 - 12/09/2004, étape d'une exposition itinérante
Dernière mise à jour le 10.12.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
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